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Funeste destin de ces huit hommes tombés sous les balles de la police française réquisitionnée par les SS .

De jugement, il n’y en pas eu , juste une parodie, et c’est grâce à notre fidèle Amie Geneviève LITT désormais disparue, mais présente dans nos pensées, que leur histoire a pu être être connue.

Elle avait fait un don afin de fleurir chaque année la stèle de ces malheureux jeunes hommes.

Ce vendredi 20 mai, sur ce même chemin de ronde où ils ont été abattus, nous avons été replongés dans l’atmosphère de cette sordide exécution.

Pénétrer dans les murs, cheminer sur ce chemin de ronde , tout ceci incitait à la révolte, au recueillement, et bien sûr à ne pas oublier le drame qui se joue sur le sol Ukrainien !

Nous étions peu nombreux, mais huit porte drapeaux entouraient la stèle !

Avec Madame Erhart, la fille de Geneviève Litt , les personnalités présentes autour du Directeur de la prison dont le Président de l’Amicale à la mémoire du groupe Guy Mocquet , nous nous sommes souvenus !

Voir l’intégralité de l’article de l’Est Républicain

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