Sélectionner une page

À l’issue du Congrès départemental du Souvenir français, une gerbe a été déposée au monument de l’Hôtel de ville de Dole par Luc Barthelet, délégué général du Souvenir français, et le maire de Dole Jean-Baptiste Gagnoux.  Photo Progrès /Michel MARILLY

En cette première semaine de novembre, le Souvenir Français du Jura a tenu son assemblée générale à Dole.  

Le soleil était de la partie et, les responsables des délégations locales ont été nombreux à répondre présents, à l’invitation du Président Luc BARTHELET

Après la présentation des points à l’ordre du jour le rapport moral, le rapport d’activité et le budget ont été approuvé à l’unanimité.

Le président a ensuite accueilli les autorités invitées dont le Maire de Dole

Il a rappelé que le Souvenir Français n’était pas une association militaire mais une association fondée en 1887 et reconnue d’utilité publique le 1er février 1906 et a souligné qu’elle se chargeait de l’entretien des tombes, des stèles et cimetières militaires des Morts pour la France.

Tous les invités ont pris la parole pour remercier le Souvenir Français pour ses actions bénévoles au service du monde combattant

Jean-Claude REBIERE Délégué Général Président du Doubs a expliqué qu’aucune tombe de « Mort pour la France » ne devait disparaître des cimetières communaux, qu’aucun monument, aucune stèle d’un militaire « Mort au combat » ne devait être laissée à l’abandon.

Dans un grand nombre de cas les combattants « Mort pour la France » ont été inhumés dans des tombes familiales et, ils sont en déshérence du fait de la suppression des concessions perpétuelles, ou en raison des déplacements géographiques des familles.

Ces tombes à l’abandon, sont alors supprimées et les restes des combattants rejoignent la fosse commune. Ce sont des centaines de tombes qui sont entretenues, rénovées et fleuries par les comités du souvenir Français.

Une autre mission consiste à accompagner et soutenir financièrement les actions mémorielles organisées avec et pour la jeunesse.

« L’ambition et le défi impératif à relever si nous voulons que le partage de l’histoire SOUDE la nation c’est « qu’aucun élève ne quitte sa scolarité sans avoir visité un site mémoriel combattant et avoir participé au moins à une cérémonie patriotique »

Une cérémonie avec dépôt de gerbe devant la plaque dans le hall de la mairie et la décoration de sept adhérents du Souvenir français, ainsi honorés par la remise de la médaille et du diplôme.

Pierre Thiebault, Michel Bodin, Albert Wolf, Jean Charles Mittaine, Patrice Mignot, Michel Sordet, Gérard Gréa.  Photo Progrès /Michel MARILLY

 

 

Aller au contenu principal