Monsieur le Président, Monsieur le Candidat,
Si ce jour, personnellement je vous écris, c’est pour faire suite à votre candidature concernant les prochaines élections, car je vous ai entendu, la semaine dernière à la télévision, demander aux Français de vous accorder leur confiance.
Rassurez-vous, je n’ai aucunement l’intention de vous fatiguer avec des mots inutiles ou un texte trop long à lire, c’est pourquoi je vais aller droit au but afin de préserver l’essentiel de ma demande !
Etant une PUPILLE DE LA NATION et représentée par la FNAPOG qui œuvre depuis plus de 15 ans pour notre reconnaissance et notre indemnisation, qu’avez-vous fait pour eux ?
Des promesses, toujours des promesses et rien que des promesses ? Une réponse négative préparée depuis des années ainsi que son copier-coller ?
En fait, et pour faire court, RIEN ! Et malgré le faux semblant que l’on pouvait lire sur votre visage durant vos cinq années de règne, nous y avions pourtant tous cru !
Monsieur le Président, monsieur le Candidat, j’aimerais vous rappeler QUE LA CONFIANCE, CELLE QUE VOUS SOLLICITEZ, EST UNE VERTU QUI SE MERITE !
En ce qui nous concerne monsieur le Président et au vu de vos promesses non tenues, comment imaginez-vous, un seul instant, pouvoir VOUS accorder notre confiance ?
Monsieur le Président, monsieur le Candidat, NOUS, PUPILLES DE LA NATION, ne croyons plus sur simples paroles ! NOUS AVONS BESOIN D’ACTES CONCRETS !
C’EST POURQUOI, MONSIEUR LE PRESIDENT, MONSIEUR LE CANDIDAT, POUR OBTENIR NOTRE CONFIANCE ET CELLE DE TOUT LE MONDE COMBATTANT, IL VOUS FAUDRA AGIR DE SUITE EN NOUS ACCORDANT, SANS TARDER ET DE MANIERE PALPABLE, LA RECONNAISSANCE ET L’INDEMNISATION TANT ATTENDUES DEPUIS JUILLET 2004 !
Vous l’aurez compris, monsieur le Président, POUR OBTENIR NOTRE CONFIANCE ET NOS VOIX, LE VERSEMENT DE L’INDEMNISATION, C’EST MAINTENANT !
Veuillez également vous affranchir de toute excuse de non-faisabilité de la chose car VOUS AVEZ TOUTE LIBERTE d’agir en catimini ou tout simplement à l’aide du 49-3, comme cela se pratique au gouvernement.
Monsieur le Président, monsieur le Candidat, il ne vous reste, à présent, que quelques jours pour faire votre choix et nous prouver si oui ou non, nous pourrons vous faire confiance !
Monsieur le Président, monsieur le Candidat, l’équation est très simple ! Versement concret et palpable de l’indemnisation demandée et ce, avant la fin de la campagne électorale en contrepartie de NOTRE CONFIANCE ET DE NOS VOIX ! LA BALLE EST DANS VOTRE CAMP !
Avec tous mes respects, mes salutations distinguées.
Josiane Ott – PUPILLE DE LA NATION – 65, Grand’rue – 57930 Mittersheim.
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