On retiendra notamment :
– le courage et la dignité du porteur de la main du Capitaine Danjou, le Capitaine Estoup, 93 ans, ancien d’Indochine, putschiste (amnistié) avec le 1er REP en 1961 à Alger, entouré de deux vieux chibanis;
– le lieutenant récitant superbement le combat de Camerone ayant, selon la tradition appris le texte par cœur ;
Dans son livre « Les parachutistes », Gilles Perrault écrit qu’au moment de la fin du récit du combat, la cérémonie de Camerone: « prend alors un caractère proprement liturgique avec une intensité émotionnelle comparable à celle étreignant l’assemblée des fidèles à la messe au moment de l’Élévation ».
Messe où en l’occurrence « ne manque même pas la relique sacrée » : la main de bois du Capitaine Danjou !
Légion étrangère
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