Bonjour Madame La Présidente et les membres du Bureau,
Merci de prendre en compte mon avis, car l’expérience (vécue sur le terrain) me conduit à « raviver et compléter » le degré de connaissances de certains de nos « partenaires » Anciens Combattants! Voici un Texte que je propose à la diffusion (Site).
A noter que le « Bleuet de France » est passé en gestion autonome.
Mais dans ses attributions, les Pupilles de la Nation ont une place « privilégiée » et le budget alloué aux Pupilles de la Nation de MOINS de 21 ans est important et significatif…. cela est juste.
Cependant, dans la mémoire collective, on « oublie » de parler des Pupilles de la Nation et Orphelins de Guerre MAJEURS!!
Dans cet esprit et sans faire de discrimination, un jour j’ai dû réagir et rectifier une remarque qui m’avait été faite en réunion, « je cite »: les Pupilles de la Nation, sont des « Ressortissants de l’ONaCVG, « comme les AUTRES« !
J’ai donc « sorti mon mémoire historique » sur le sujet pour signaler à l’assemblée que les « Victimes de Guerre » que sont les Grands Blessés ainsi que les Pupilles de la Nations ont été reconnus, à titre de reconnaissance et réparation de dommages physiques et psychologiques, par la création des Offices Nationaux en 1916 et en 1917, ce qui par la suite, contribua a donner naissance à l’ONaCVG ACTUEL!
A noter que c’est tardivement, que les Anciens Combattants ont été reconnus en 1926,par la création d’un « Office du Combattant » affecté à la prise en charge des besoins généraux des anciens combattants.
Ce qui leurs donnait la possibilité d’obtenir des « Aides ».
Cet Office était destiné à la catégorie des anciens combattants non pensionnés, c’est à dire ni blessés, ni mutilés, ni invalides.
Par conséquent, au fil des conflits successifs qui ont marqué l’Histoire de la France depuis le début du XXème siècle, l’Office National des anciens combattants et Victimes de Guerre a vu s’enrichir les facettes de ses missions fondatrices de reconnaissance et de réparation.
Aujourd’hui, le Monde Combattant et la Mémoire ne doivent pas oublier que la transmission des faits repose sur la « mémoire vivante » que sont les Pupilles de la Nation et Orphelins, enfants des grands mutilés et des Morts pour la France.
Présenté par :
Valdemar KNOPIK
Président FNAPOG « Artois-Flandres »
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